jeudi 28 décembre 2017

BONNE NOUVELLE POUR LES ÉTUDIANT(E)S NIVEAU BTS, LICENCE , MASTER, INGÉNIEUR. PARTAGE CETTE VIDÉO POUR FAIRE PASSER L'INFORMATION. Notre page facebook https://web.facebook.com/CabinetGSC/

lundi 15 mai 2017

Questions formulées par un employeur

Question : « Parlez-moi de votre expérience ! » 

Réponses proposées
1 - « Que voulez-vous savoir exactement, voulez-vous que je vous parle de mon dernier emploi ? » 
2 - « Je n’ai pas beaucoup d’expérience… » 
3 - « Vous savez, avec mon patron, ce n’était pas facile, il faisait tout faire en même temps, c’était du n’importe quoi ! » 
4 - « J’ai travaillé dix ans comme comptable et pendant mes études, je partais en Espagne pour accompagner des groupes de touristes, etc. » 

Question : « Combien voulez-vous gagner ? » 

Réponses proposées : 
5 - « Le plus possible. » 
6 - « Je ne sais pas. » 
7 - « Ce que vous voulez, pourvu que j’aie un emploi ! » 
8 - « Le même salaire que j’avais avant. » 

Question : « Pourquoi avez-vous quitté votre dernier emploi ? » 

Réponses proposées : 
9 - « L’essai n’a pas été concluant. » 
10 - « Il m’a mis à la porte pour faute professionnelle, mais c’est faux et je suis en procès aux prud’hommes. » 
11 - « Euh… ben…, j’ai été malade et quand je suis revenu la secrétaire m’a dit que le patron me licenciait. » 

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Les états financiers d’une entreprise

La plupart des entreprises doivent établir et présenter des états financiers. Derrière ce terme se cache une notion assez simple en comptabilité. En effet, il s’agit généralement des comptes annuels. Le cabinet GSC vous propose une fiche complète portant sur les états financiers d’une entreprise et répondant aux questions : qu’est-ce qu’un état financier ? quelles entreprises doivent établir des états financiers ? Quels sont les principaux tableaux à construire ? Qui est tenu de les publier ? 









Un état financier, qu’est-ce que c’est ? A quoi ça sert ?

Par définition, un état financier est un document comptable qui donne des informations sur la situation d’une  entreprise. Ces informations peuvent concerner l’état de sa structure financière, la composition de son patrimoine, l’évaluation de ses performances et la mesure de sa rentabilité.
Les états financiers synthétisent de façon claire et structurée les événements qui ont affecté une entreprise tout au long de son existence ainsi que les transactions qu’elle a réalisées avec des tiers. Ils permettent à tout lecteur de comptes :
  • de mener des analyses précises notamment dans le cadre d’opérations de reprise d’entreprise, d’évaluation de sociétés, de fusion, scission ou apport partiel d’actifs;
  • d’effectuer des comparaisons dans le temps (les états financiers d’une même entreprise sont comparés chaque année) ;
  • de réaliser des comparaisons dans l’espace (les états financiers d’une entreprise sont comparés à ceux d’une entreprise concurrente) ;
  • de prendre des décisions (les équipes dirigeantes d’une entreprise les utilisent comme support, véritable outil d’aide à la décision).
Les états financiers s’adressent à tout intéressé : les associés, les actionnaires, les dirigeants, les salariés, les banquiers, les investisseurs et à toute personne y trouvant un intérêt.

Quelles entreprises doivent établir des états financiers ?

En principe, toutes les entreprises commerciales, artisanales industrielles ou libérales doivent construire des états financiers. Toutefois, l’étendue des obligations diffère selon la nature de l’activité (bénéfices industriels et commerciaux –BIC, bénéfices non commerciaux –BNC ou bénéfices agricole -BA) et la taille de l’entreprise (micro-entreprise, petite entreprise ou entreprise de taille normale).
Les mesures les plus contraignantes sont prévues pour les sociétés et notamment les sociétés commerciales (société par actions simplifiée unipersonnelle -SASU ou pluripersonnelle -SAS, société à responsabilité limitée unipersonnelle -EURL ou  pluripersonnelle -SARL, société en nom collectif -SNC, société anonyme -SA, société en commandite simple -SCS ou société en commandite par actions -SCA) et assimilées (principalement les sociétés d’exercice libéral -SEL considérées comme commerciales de par leur forme -SELARL, SELAS, etc.). Elles doivent généralement établir tous les états financiers recensés ci-dessous, sous réserve de quelques dispenses et aménagements. Les entreprises individuelles sont généralement dispensées de produire certains documents (et notamment l’annexe qui est présentée ci-dessous, sauf pour les « grandes entreprises individuelles »). Elles peuvent généralement se limiter à l’établissement d’un bilan et d’un compte de résultat.
On notera ici que les plus petites structures sont purement et simplement dispensées de tenir une comptabilité et d’établir des états financiers. Il s’agit des entreprises relevant de l’un des régimes du micro au sens fiscal (régime du micro-BNC ou régime du micro-BIC). 

jeudi 23 mars 2017

OFFRE DE SERVICE CABINET GSC






A l'attention des directeurs généraux, promoteurs des entreprises

Objet: Offre de service

Dans le cadre de la maîtrise du développement de vos entreprises , le CABINET GROUPE DES SAGES COMPTABLES vous propose des services ci-après.

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jeudi 2 février 2017

Les stocks en comptabilité (comptes de classe 3)


Les comptes de stocks correspondent en comptabilité aux comptes de la classe 3 du PCG (Plan Comptable Général).
Les stocks constituent un élément important des comptes annuels et les entreprises doivent respecter des obligations en matière d’inventaire de leur stock.
Nous allons donc aborder dans cet article les points suivant : la composition des stocks, l’inventaire des stocks, l’évaluation des stocks et la comptabilisation des stocks.

1. Définition et composition des stocks

Un stock est défini comme un ensemble de biens destinés soit à être vendus dans le cadre de l’activité courante de l’entreprise, soit à être consommés dans l’activité de production de l’entreprise.
On retrouve dans les comptes de stocks deux catégories d’éléments :
  • les stocks d’approvisionnements, de matières premières, de marchandises et de produits,
  • et les en-cours de production, les en-cours de services et les travaux en cours.

2. Inventaire des stocks

Toutes les personnes physiques ou morales ayant la qualité de commerçant ont l’obligation d’établir un inventaire physique des stocks au moins une fois par an. 2 cas sont à distinguer :
  • lorsqu’un inventaire permanent fiable est mis en place, l’entreprise peut réaliser son inventaire physique à une date différente de celle de la clôture de l’exercice et également procéder à des inventaires physiques tournants.
  • en l’absence d’inventaire permanent, l’inventaire physique doit être réalisé à la clôture de l’exercice comptable.

3. Evaluation des stocks

Plusieurs méthodes d’évaluation existent pour les stocks.
Pour approfondir cette notion, notre équipe a consacré un article complet : l’évaluation des stocks en comptabilité.

4. Comptabilisation des stocks

Les principaux comptes du PCG qui doivent être utilisés pour la comptabilisation des stocks sont les suivants :
  • Au niveau du bilan comptable :
    • les comptes 31 pour les stocks de matières premières,
    • les comptes 32 pour les stocks d’autres approvisionnements (matières consommables, emballages…),
    • les comptes 33 pour les en-cours de production de produits et de travaux,
    • les comptes 34 pour les en-cours de production de services,
    • les comptes 35 pour les stocks de produits,
    • et les comptes 37 pour les stocks de marchandises.
  • Au niveau du compte de résultat :
    • les comptes 6031 pour les stocks de matières premières,
    • les comptes 6032 pour les stocks d’autres approvisionnements,
    • les comptes 6037 pour les stocks de marchandises,
    • les comptes 7133 pour les en-cours de biens,
    • les comptes 7134 pour les en-cours de services.
A la clôture de l’exercice comptable :
  • le montant total du stock est inscrit au débit du ou des comptes de classe 3,
  • en contrepartie, ces montants sont inscrits au crédit des comptes de charges de classe 603.
A l’ouverture de l’exercice comptable suivant, il conviendra de contre-passer l’écriture de constatation des stocks qui a été comptabilisée à la clôture de l’exercice précédent.
Un article plus complet est disponible : la comptabilisation des stocks et des dépréciations de stocks

5. Les stocks dans les comptes annuels

On retrouve les stocks dans plusieurs composants des comptes annuels :
  • bilan comptable, on retrouve à l’actif le montant brut des stocks, les éventuelles dépréciations et le montant net des stocks,
  • dans le compte de résultat, on retrouve uniquement la variation du stock par rapport à l’exercice précédent,
  • et dans l’annexe comptable figure notamment les règles comptables relatives aux stocks qui sont appliquées par l’entreprise.

mercredi 11 janvier 2017

AUDITEUR INTERNE : RÔLE ET MISSIONS

Évoluant dans un monde en mutation permanente, les entreprises sollicitent régulièrement des auditeurs internes pour renforcer leur efficacité dans le management des risques et le contrôle interne. Le rôle de l’auditeur interne consiste alors à accompagner l’entreprise dans l’amélioration de ses procédures et de ses résultats.






LE RÔLE DE L’AUDITEUR INTERNE

Le rôle de l’auditeur interne consiste à vérifier l’exactitude des informations, organisationnelles ou financières, fournies aux dirigeants de l’entreprise. Grâce à l’audit, ils pourront définir de nouveaux objectifs ou adopter de nouvelles méthodes de travail. Ainsi, la responsabilité de l’auditeur interne est traditionnellement limitée au contrôle et à la réglementation. Pourtant, ces dernières années, cette responsabilité a évolué afin de répondre aux nouveaux besoins des entreprises. Ces dernières attendent que l’auditeur apporte une valeur ajoutée à sa mission en proposant des conseils, en anticipant les risques et en comprenant les enjeux stratégiques qui s’imposent à elle.


LES MISSIONS DE L’AUDITEUR INTERNE

L’auditeur interne s’intéresse aux systèmes d’information comptable et financière. Lors des audits, il intervient à plusieurs niveaux :
  • -systèmes de contrôle interne et de gestion des risques (analyse et vérification de l’efficacité des procédures de contrôle) ;
  • -vérification de la conformité réglementaire et légale des dispositifs mis en place ;
  • -définition du plan d’audit de l’entreprise et de ses filiales ;
  • -réalisation des missions d’audit (observation, entretiens avec les collaborateurs concernés par l’audit, formulation de pistes d’amélioration, rédaction de rapport de mission …) ;
  • -action de formation aux nouveaux outils…
  • Les missions de l’auditeur interne sont variées et dépendent aussi de son rattachement hiérarchique. 
    Des compétences techniques et des qualités personnelles
    Pour réaliser l’ensemble de ses missions, l’auditeur interne se doit d’avoir une vision globale de l’entreprise et de ses métiers. Ainsi, les entreprises recherchent des profils aux expériences professionnelles variées pour qu’ils aient une meilleure appréhension des différentes activités de l’entreprise. Elles attendent de leur auditeur interne des compétences techniques solides :
    • -Respect des normes professionnelles de l’audit interne ;
    • management de projet ;
    • -Connaissance des risques de l’entreprise ;
    • -Analyse et synthèse des informations relatives à l’entreprise (comptabilité, ressources humaines…) ;
    • -Maîtrise des outils informatiques.
    Ces compétences techniques de l’auditeur interne doivent être associées à des traits de personnalité qui lui permettront d’être performant dans ses missions :
    • -Sens de l’écoute et aisance relationnelle pour travailler en équipe ;
    • -Capacité d’adaptation et goût pour les déplacements ;
    • -Discrétion et impartialité par rapport aux documents et informations récoltés ;
    • -Rigueur, esprit de synthèse ;
    • -Esprit d’initiative pour améliorer les processus existants ;
    • -Bonne gestion du stress.
    Objectif et indépendant, l’auditeur interne aide donc l’entreprise à atteindre ses objectifs en évaluant méthodiquement et systématiquement sa gestion des risques, ses procédures de contrôle et sa gouvernance.

dimanche 8 janvier 2017

Choix des taux de frais et des clés de ventilation





Dans le cas des centres où aucune unité d'œuvre n'est envisageable, on utilise soit des clés forfaitaires semblables aux clés de répartition des charges indirectes sur les centres d'analyse, soit des taux de frais, ces derniers étant définis comme le rapport en pourcentage du total des frais du centre d'analyse considéré à la valeur en francs d'une assiette déterminée. Par exemple, les frais du centre X seront ventilés sur les coûts de revient R1, R2, R3, par application, aux coûts de production P1, P2 et P3, des quantités vendues de ces mêmes produits, du taux de frais égal en % à : 

100.   Somme Frais du centre X
                P1 +P2+ P3

La somme des coûts de production des quantités vendues constitue l'assiette de ventilation. 

Le PCG donne à titre d'exemple des types de clés et d'assiettes de taux de frais couramment admises dans certaines industries de transformation : 


- frais afférents aux centres de travail d'administration générale, aux comptes de coûts de revient à raison du coût de production des quantités vendues (c'est l'exemple de taux de frais donné ci-dessus) 

- frais du centre gestion financière, imputés également aux coûts de revient à raison du coût de production des quantités vendues ; 

- frais du centre de gestion du personnel, transférés à tous les centres utilisant du personnel à raison des effectifs qu'ils emploient (ou des heures, ou des rémunérations) ; 

- frais du centre de gestion des bâtiments, transférés à tous les centres occupant des surfaces à raison des surfaces qu'ils occupent ; 
- frais du centre de gestion du matériel, transférés aux centres utilisateurs de matériel à raison de clés conventionnelles, comme par exemple la valeur des matériels des centres, ou à raison de prestations précisément valorisées fournies à ces centres ;

 - frais sur approvisionnements, imputés aux coûts de production à raison des valeurs des approvisionnements spécifiques utilisés pour chaque produit, en différenciant éventuellement ces taux de frais par catégorie d'approvisionnements ;

 - frais d'études libres ou de recherche et développement, affectés aux coûts de revient à raison des coûts de production des quantités vendues ; 

- frais de distribution indirects, imputés aux coûts de revient à raison des coûts de production des quantités vendues, en différenciant éventuellement le taux de frais par catégorie de clientèle

La relation entre comptabilité analytique et comptabilité générale 




Pour l'entreprise, les faits comptables ne sont enregistrés qu'une seule fois, en comptabilité générale. C'est donc à partir des données de cette dernière que l'on alimente la comptabilité analytique, les mesures effectuées sur le terrain ne servant qu'à déterminer la ventilation interne de ces données. 
 
Cependant, on a vu que les données d'entrée de la comptabilité analytique pouvaient différer de celles de la comptabilité générale parce que certaines charges étaient considérées comme non incorporables, par exemple certaines dotations aux provisions, et qu'on souhaite parfois ajouter des éléments supplétifs généralement relatifs à la rémunération des capitaux propres. 
 
Par ailleurs, on est souvent contraint d'estimer certaines charges (dotations aux amortissements, charges financières, charges non encore facturées, etc.) faute de les connaître exactement en temps utile. 
 
Les différences entre charges enregistrées par la comptabilité générale et charges introduites dans le système d'analyse constituent ce que le PCG appelle des différences d'incorporation. 
 
Cette possibilité d'introduire des données différentes permet une grande souplesse d'utilisation en ce sens qu'elle autorise des exploitations distinctes à périodicités différentes. Mais les comptables ont jugé à l'expérience nécessaire d'établir périodiquement des recoupements entre les deux comptabilités, faute de quoi la comptabilité analytique dégénérerait rapidement en un instrument incontrôlable et incohérent. Ils souhaitent en particulier vérifier au moins une fois par an, en fin d'exercice comptable, l'égalité liant le résultat de la comptabilité générale aux résultats analytiques par produit :   

résultat de la comptabilité générale = Σ résultats analytiques par produit + Σ différences d'incorporation (dont charges supplétives - charges non incorporables) 
 
C'est pour cette raison que le PCG a prévu des comptes de différences d'incorporation et un système de comptes réfléchis de charges et de produits (variations de stocks comprises), qui ont pour fonction de reprendre les éléments de la comptabilité générale sans en altérer les comptes. 

Avec l'informatique, la saisie peut se faire directement et simultanément dans les deux comptabilités. 

Avec l'informatique, ce formalisme des comptes en T, s'il garde sa valeur pédagogique, peut très bien ne pas être respecté fidèlement.

Bonne Lecture à tous...

La saisie des données - le coût de l'information très prochainement ...